Vers une qualité minimale acceptable?
les faits:
Depuis quelques années les MK font face à une demande de soins qui va croissante.
Depuis quelques annĂ©es (chĂ´mage chronique, atonie de la croissance, augmentation de l’espĂ©rance de vie), les caisses cherche Ă diminuer le volume de remboursement des soins de ville.
Depuis quelques annĂ©es, qoiqu’en disent les indicateurs officiels, le coĂ»t de la vie a considĂ©rablement augmentĂ©…, au profit des gagnants de l’euro: les incontournables commerçants qui libres de leurs tarifs et libres de leurs dĂ©clarations de revenu (au moins tant que les billets de banque et les pièces de monnaie existeront, il sera possible de soustraire une partie consĂ©quente de son revenu au yeux du fisc), se sont gobergĂ©s.
Le MK de base aux tarifs conventionnĂ© c’est vu appliquer une conversion au dixième de centime d’euro près!
Cette profession est une des rares Ă n’avoir profitĂ© ni des 35 heures ( les salariĂ©s des grosses boites, les fonctionnaires), ni de l’arrondi Ă l’euro supĂ©rieur (le commerce), alors que la demande va croissante… car c’est le kinĂ© qui est conventionnĂ©, pas le patient.
Pour le kinĂ© lambda l’Ă©quation est simple, augmenter la cadence au dĂ©triment de la QualitĂ©, pour atteindre la qualitĂ© minimale acceptable par le patient lambda.
Et le patient lambda est souvent un primo accĂ©dant Ă la maladie…
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