Fronde salariale… 200 euros trop loin
Lu sur ContreOrdreDesKinĂ©s, le site des spĂ©cialistes de l’Ă©conomie mĂ©nagère, dont le principal objectif (certe très ambitieux) est de faire Ă©conomiser, non pas deux, ni trois… ni mĂŞme cinq, non madame, mais jusqu’Ă huits kilos de veau Ă ses valeureux sympathisants (25 euro le kilo de veau, prix relevĂ© ce jour au prisu près de chez moi… certe, c’est pas du fermier), ce qui nous fait, quand mĂŞme, pas loin de cinq belles blanquettes dominicales pour six convives et, grosso-modo, trois banquets pour quatre vrais morfales!
Huit kilos de veau, non mais t’imagine… faut dĂ©jĂ un bon gros sac, genre en croĂ»te de porc, ou bien carrĂ©ment faire pĂ©ter la valise en carton bouilli !
qualité des soins et informatisation
monopole de la sécu
La Direction de la SĂ©curitĂ© sociale tient Ă rappeler l’obligation de cotiser Ă la sĂ©curitĂ© sociale suite aux nombreux articles parus dans la presse, annonçant Ă tort la fin du monopole. ***** Depuis un certain temps, des voix s’élèvent pour soutenir que des textes europĂ©ens « imposeraient la fin du monopole français de la sĂ©curitĂ© sociale ». Sur la base d’arguments fallacieux, ces mouvements incitent les assurĂ©s sociaux Ă quitter la sĂ©curitĂ© sociale et souscrire des assurances privĂ©es, auprès d’organismes assureurs Ă©tablis dans d’autres Etats de l’Union europĂ©enne. Ces fausses informations conduisent des personnes de bonne foi, peu au fait du droit europĂ©en, Ă cesser de cotiser Ă la sĂ©curitĂ© sociale, les exposant ainsi Ă des sanctions financières et Ă des poursuites pĂ©nales. Face Ă ces rumeurs persistantes mais totalement infondĂ©es, la Direction de la SĂ©curitĂ© Sociale tient Ă rappeler les règles fondamentales qui rĂ©gissent notre sĂ©curitĂ© sociale et confirme qu’elles respectent pleinement le droit europĂ©en.… la suite dans le dossier L’Europe a-t-elle mis fin au monopole de la sĂ©curitĂ© sociale ? La rĂ©ponse est: niet, et sur tous les tons!
les syndicats Ă l’unisson!
Lu sur le blog du SN:
Ostéo: les syndicats au Conseil d’Etat.
Dès octobre 2006, les syndicats de kinésithérapeutes avaient émis des objections lors de la publication des projets de décrets relatifs à l’application de la Loi dite « Kouchner » sur l’ostéopathie (article 75 de la loi d’août 2004). Le tout jeune Conseil de l’Ordre s’était également ému. Peine perdue, les décrets sortirent tels que prévus et chose étrange, ils ne contentèrent même pas les promoteurs de l’ostéopathie « exclusive » affranchie de toute tutelle médicale ou kinésithérapique.
Après plusieurs mois de discussions afin d’essayer de trouver une faille, l’Ordre de son cotĂ©, le SNMKR et la FFMKR du leurs, ont mis en place des procĂ©dures en Conseil d’Etat pour essayer de faire rĂ©viser les textes. Les raisons d’attaquer les dĂ©crets…
liste des Ă©coles d’ostĂ©opathie agrĂ©Ă©es
NB: la liste obsolète ci-dessous est conservĂ©e en l’Ă©tat pour information Parution au Journal Officiel du 17 AoĂ»t 2007 de L’ArrĂŞtĂ© du 9 AoĂ»t 2007 listant les Ă©tablissements agrĂ©Ă©s dispensant une formation en ostĂ©opathie. Pour mĂ©moire: LISTE DES ETABLISSEMENTS DISPENSANT UNE FORMATION EN OSTEOPATHIE NON AGREES EN AOUT 2007 Suite Ă l’examen des dossiers en juillet 2007 par la Commission nationale d’agrĂ©ment, ne sont pas agrĂ©Ă©s les Ă©tablissements suivants : - AcadĂ©mie Sutherland France – Marseille (13) ; - AMOTA – Nice (06) ; - Andrew Taylor Still Academy – Limonest (69) ; - AcadĂ©mie d’ostĂ©opathie de MĂ©diterranĂ©e – Aubagne (13) ; - CERTM – Francheville (69) ; - CETOHM – Lognes (77) - Clinique d’ostĂ©opathie Staf – Bordeaux (33) ; - Collège OstĂ©opathique Sutherland Aquitaine – Bordeaux (33) ; - Collège OstĂ©opathique Sutherland Atlantique – Saint Herblain (44) ; - Collège OstĂ©opathique Sutherland Ile-de-France – Saint-Ouen (93) ; - Collège d’ostĂ©opathie traditionnelle du Nord – Loos (59) ; - CREO – Tours (37) et Paris (75) ; - Ecole d’ostĂ©opathie libre europĂ©enne – Lisieux (14) ; - Ecole nationale d’ostĂ©opathie – Paris (75) ; - EOG – Manosque (04) ; - ETFM – Charny les Macon (71) ; - Institut franco-britannique d’ostĂ©opathie – BĂ©ziers (34) ; - Institut de formation de kinĂ©sithĂ©rapie en ostĂ©opathie – Montpellier (34) ; - Institut de formation supĂ©rieure en ostĂ©opathie – Paris (75) ; - Institut de formation supĂ©rieure en ostĂ©opathie / Association IFPEK – Rennes (35) ; - IFSO - Vichy (03) ; - Institut catholique - Lille (59) ; - Institut Dauphine – Paris (75) ; - IPEO – Pantin (93) ; - ISO Aix-en-Provence – Meyreuil (13) ; - ISO Lille – Loos (59) ; - ITMO – Paris (75) ; - Association Lemniscate – Auribeau sur Agne (06) ; - Maison de la thĂ©rapie manuelle – Boulogne (92) ; - Ecole d’ostĂ©opathie de l’ONREK – Limoges (87) ; - Association PLP Formation – Lyon (69) ; - REA SantĂ© – Gradignan (33) ; - Richard’s Osteopathic Research Institute – Lyon (69).
soigner par les plantes
Soigner par les plantes : points-clĂ©s Au delĂ des prĂ©jugĂ©s, bien utiliser les plantes en situations de soins: “Naturel” n’est pas synonyme d’innocuitĂ©. Devant une symptomatologie inexpliquĂ©e, mieux vaut penser aussi Ă questionner le patient sur sa consommation Ă©ventuelle de prĂ©parations Ă base de plantes. “PrĂ©paration Ă base de plantes” n’est pas synonyme de placebo, que la forme d’utilisation soit la tisane (forme traditionnelle la plus utilisĂ©e), ou divers extraits actuellement commercialisĂ©s sous des formes pharmaceutiques variĂ©es. Comme pour les autres thĂ©rapeutiques, le choix d’utiliser une plante pour soigner exige une Ă©valuation de la balance entre les bĂ©nĂ©fices attendus et les risques encourus pour chaque patient, en fonction de sa situation particulière. Et cette balance doit ĂŞtre favorable. Identifier et nommer avec prĂ©cision les plantes et leur partie utilisĂ©e est nĂ©cessaire pour savoir de quoi on parle. Sur le marchĂ©, coexistent des prĂ©parations Ă base de plantes dont les statuts n’offrent pas les mĂŞmes garanties de qualitĂ© et d’innocuitĂ©. Le statut de mĂ©dicament avec autorisation de mise sur le marchĂ© (AMM) garantit au moins la qualitĂ© pharmaceutique des prĂ©parations. Ce n’est pas le cas pour les complĂ©ments alimentaires, les “alicaments” et autres”nutraceutiques”, dont ni la composition ni l’innocuitĂ© ne sont valablement assurĂ©es. Les soignants doivent refuser d’ajouter Ă la confusion : mieux vaut ne pas prescrire ni vendre des prĂ©parations Ă base de plantes dĂ©nuĂ©es du statut de mĂ©dicament ; ces prĂ©parations n’ont pas leur place en pharmacie d’officine. Le code CIP, sur l’étiquetage des boĂ®tes, est un repère simple qui permet de reconnaĂ®tre les prĂ©parations (y compris Ă base de plantes) qui ont le statut de mĂ©dicament (leur code CIP commence par un “3″). Les plantes peuvent ĂŞtre utiles dans certaines affections bĂ©nignes pour lesquelles le traitement est de nature symptomatique. Elles ont par exemple leur place pour traiter des “troubles du sommeil”, des “troubles digestifs”, une “dĂ©prime passagère”. Les niveaux de preuve manquent parfois de robustesse pour dĂ©montrer l’efficacitĂ© d’une prĂ©paration Ă base de plantes dans une indication donnĂ©e. Pourtant, quand la prise d’un mĂ©dicament Ă base de plantes a Ă©tĂ© choisie avec le patient comme Ă©lĂ©ment de rĂ©ponse Ă ses maux, son utilisation peut se justifier dès lors que les effets indĂ©sirables sont inexistants ou nĂ©gligeables. Dans des indications sĂ©rieuses oĂą il y a mieux Ă faire, les plantes ne doivent pas ĂŞtre utilisĂ©es Ă la place d’autres traitements dont la balance bĂ©nĂ©ficesrisques est favorable. De manière gĂ©nĂ©rale, mieux vaut dĂ©conseiller l’usage des plantes pour maigrir (leur consommation est alors souvent massive et au long cours) ; ainsi que chez les patients polymĂ©dicamentĂ©s (risques d’interactions mĂ©dicamenteuses) ; et ne pas les utiliser au long cours (la liste des plantes hĂ©patotoxiques est longue). Pour prĂ©venir les effets indĂ©sirables, les soignants ont un rĂ´le d’incitation des patients au respect des conditions normales d’utilisation : – ne consommer que des prĂ©parations Ă base de plantes dont la qualitĂ© pharmaceutique est garantie par le statut de mĂ©dicament ; – Ă©viter une consommation prolongĂ©e ; – respecter des doses “raisonnables”, conformes aux mentions figurant sur l’étiquetage ; – prĂ©fĂ©rer les plantes dont l’usage est reconnu comme traditionnel par les agences du mĂ©dicament, et dont le mode de prĂ©paration est le plus proche possible de la tradition. ©La revue Prescrire 15 aoĂ»t 2007Lire l’Ă©ditorial et le sommaire du n°286, AoĂ»t2007.
la FNEK dénonce les aberrations de la formation
Je vous livre ci-dessous ce qui devait faire l’objet d’un article concernant une rĂ©cente publication de F.Gougeon sur Egora… mais au moment de cliquer sur “Publish” j’ai Ă©tĂ© pris d’un furieux doute et me suis inscrit derechef sur le forum de la FNEK (FĂ©dĂ©ration Nationale des Etudiants en kinĂ©sithĂ©rapie) dans l’espoir d’obtenir quelques Ă©claircissements…
La recherche bibliographique sur l’internet en médecine
Medicare / Medicaid
Exhumé cet article:
Vices et vertus du système de santé américain
LE MONDE | 19.05.07 | 11h46 • Mis à jour le 19.05.07 | 17h23
Une très intéressante interview de Victor G. Rodwin, professeur en économie et gestion des services de santé à la Wagner School of Public Service de la New York University.
Il vient de publier aux Etats-Unis Universal Health Insurance, How Sustainable ? Essays on the French Healthcare System.
Quelle université pour les kinés ?
RelevĂ© sur le forum de la FNEK, les subtilitĂ©s inattendues d’un improbable, mais attendu, avenir universitaire spĂ©cifique Ă notre… hum… art?:
lettre de mission impossible
Guide CISS du représentant des usagers du système de santé
le premier master en kinĂ©sithĂ©rapie…
enfin… au Maroc !
Lu sur le site du Matin du Sahara et du Magrheb, (l’article est archivĂ©, sans url, aussi je le reproduit, ci-dessous, sans vergogne et en l’entrelardant de commentaires):