des kinĂ©s en accès direct… yes sir !
… mais en Australie.
Toujours chaudement Ă suivre (sur le blog de KinĂ©sithĂ©rapie la Revue), l’aventure australienne de Pierre Trudelle, dĂ©jĂ dans son opus 8:
Cours de master sur le sport et raisonnement clinique:
Perso j’en ai rien Ă cirer de la kinĂ© sportive, y-a dĂ©jĂ suffisamment Ă faire avec les sĂ©dentaires qui regardent du sport Ă la tĂ©lĂ©… les sportifs pro ne valent pas mieux (se retrouver volontairement tout niquĂ© Ă 35 ans pour de l’argent, rarement de l’or, n’est pas une situation enviable… donc pas de quoi pavoiser).
Cela dit, l’info intĂ©ressante est, ci-dessous, en gras.La formation insiste sur la dĂ©cision thĂ©rapeutique et le raisonnement clinique que doit suivre le kinĂ©sithĂ©rapeute. Il faut savoir que les physiothĂ©rapeutes australiens ont Ă©tĂ© les premiers au monde Ă recevoir les patients en accès direct (1976). Cette autonomie professionnelle s’est gagnĂ©e par le niveau scientifique des physios et les travaux publiĂ©s. A partir de lĂ , le diagnostic kinĂ©sithĂ©rapique est devenu une rĂ©alitĂ© dès l’enseignement initial. Au niveau Master cela est encore plus important car les physions sont amenĂ©s Ă voir des patients pour des problèmes prĂ©cis.
… les australiens Ă©taient les premiers, ok, no problemo, et ben les kinĂ©s français seront les derniers… car en France, Madame, on ne rigole pas avec les sous-fifres… non mais!
lire la suite… sur la Revue KinĂ©sithĂ©rapie.
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