kinéblog.net

Bravo pour le pistes de reflexion . Je suis assidument les differnts commentaires et articles de ce site et lui trouve l’intérêt de renouveler les discussions autour de cette profesion dont la situation n’est pas bien définie , mais pour laquelle cela vaut la peine de se bouger .
Je tenterai de participer aux débats , qui me semblent moins futiles que sur la plupart des forums pro .

A bientôt .

Merci, fares, l’objet de ce blog est surtout de me permettre de collecter en un seul endroit mes sources de réflexion, et les commentaires qui me viennent à l’esprit sur des sujets qui ne collent pas toujours à l’actualité… je me contente de les partager (et souvent en leur état d’embryon, faute de temps, je suis un simple MK libéral…).
Notre profession, par la nature même de ses moyens techniques et des contraintes (logiques) du corps humain (proximité, répétititivité), nous colle très, trop souvent le “nez dans le guidon”, il est donc à mon sens utile de chercher ailleur, ou autour, les données utiles à son évolution, mais aussi de donner quelques clés pour envisager, individuellement, notre avenir de praticien.

Donc merci d’apprécier ma démarche, et à bientôt.

Fort bien mais pouvons nous elever le debat et prposer plus que denoncer.
La forme des remarques est parfois un peu abrupt et on touche souvent le fond mais malheureusement pas des problèmes.

Un exemple : la physiotherapie designe la kinesitherapie, c’est le terme anglophone tout simplement.

Bien voir aussi qu’individuellement l’impuissance est la règle, collectivement et surtout de maniere cooherante les possibilités sont plus nombreuses.

Edgar donne parfois le meilleur de lui même mais bizaremment pas ici mais sur d’autres sites.

Travaillons nos points forts à la place de nos points faible.

Je ne me blesse pas l’epaule sur cette porte ouverte, soyons dans la proposition.

TG

En même temps , proposer des débats n’empêche pas de faire exister les réflexions suivantes. Bien au contraire. Et le caractère volontairement provocateur de certaines interventions à au moins le mérite de réveiller les conscince .

C’est le point de départ de quelque chose ?

Je me retrouve bien dans certaines des interventions, y compris sur d’autres forums . Je pense que le problème de la définition de notre profession est bien correllé au problème des études , et que prioritairement nous devrions cesser d’attacher ou de faire attacher notre devenir aux autres filières paramédicales , en particuliers les infrmiers dans nos négociations ( type si on réclame ça ,alors i”ils” vont réclamer çà aussi et du coup c’est pas possible , ou plus tard . - ( cf intervention sur le devenir de notre formation )

Au fait , les pays, type Australie ou Canada qui ont mieux évolué, ont ils aussi lié leur devenir à ceux des “nurses” pour en être là ou ils sont ?

Nous avions, me semble-t’il dans les années 60 un statut pas si différent que ça des psychologues et des dentistes . Le lien avec leur si grand nombre n’est-il pas une de nos plus grosse casserolle , en tant que statut, qu’espoirs d’évolutions et que communication restant possible auprès des pouvoirs publics.

Tres tres juste tout ça.
L’exemple des dentistes est marquant, ils ont fait bloc, unifié pour ensuite s’imposer et faire valoir leurs competences.

J’ai aussi cette impression d’avoir à secouer pour faire reagir.

La profession est tout de meme tres individualiste, et faire avec n’est pas simple.

TG, les forums m’offrent l’opportunité de cristalliser ma pensée (c’est une forme de communication netique sans doute plus conviviale, plus en chair, propice au débat d’idée et à l’élaboration de synthèses très provisoires et circonstancielles), sur kineblog je me contente de rassembler la matière éparse et de la soumettre à l’appréciation de chacun qui passe.
J’ai caressé l’idée qu’un jour kineblog puisse devenir un lieu de synthèse, mais plus j’avance plus je mesure l’étendue de mon ignorance… et le caractère très provisoire et fragile de mes opinions.
C’est la nature même de notre profession, difficile à cerner (libérale et salariée, BE et thérapeutique, exercice individuel ou en groupe, manuel ou mécanisé…) qui est propice à l’émergence de l’individualisme.
Il faut donc à l’avant poste un moteur pour créer une aspiration, une trace qui, tractant, unifie… le LMD me semble être le candidat le mieux placé pour jouer ce rôle de tracteur (ce n’est qu’une opinion, très provisoire).